De qui Emmanuel Macron est-il la réincarnation ?

La question peut paraître un tantinet loufoque, mais en y répondant, ne pourrions-nous pas y voir un peu plus clair ? tant la personnalité de Macron semble insaisissable et hors du commun, à la fois complexe, contradictoire, tout est unique chez lui : son accession au pouvoir, sa manière de gouverner, son rapport à la politique et au peuple, son couple … Si nous connaissions son incarnation antérieure, pourrions-nous assembler tous les morceaux de cette personnalité complexe ? Et comprendre ainsi la personnalité profonde de Macron, ce qui l’anime, ses ambitions, et accessoirement où il mène la France.
Pour comprendre une personne, on nous explique toujours qu’il faut aller chercher les failles, les fêlures, les blessures dans l’enfance ou la jeunesse de cette personne ; étudier le rapport au père, à la mère …Mais ne serait-ce pas plus facile d’analyser l’incarnation précédente de cette personne. Ne comprendrait-on pas alors bien mieux les ressorts de cette âme ? Qu’au fond, on choisit bien ses parents, on choisit bien sa famille et l’endroit où on naît ! Que certaines peurs ou certaines ambitions sont nées en nous lors d’une incarnation précédente…
Encore faut-il pouvoir retrouver cette incarnation-là ! Et en ce qui nous concerne celle d’Emmanuel Macron.

Pour percer cette énigme, il faut remonter aux élections présidentielles de 2007. A l’époque, Emmanuel Macron n’est qu’un illustre inconnu, même si, à n’en pas douter, il pensait déjà avec Brigitte, à l’Elysée. Et comme beaucoup de français, je suis cette campagne avec beaucoup d’intérêt et c’est alors que j’eu une sorte de révélation.
D’un côté, j’écoutais les commentateurs politiques, et j’apprenais, plutôt surpris, que la Vè république était une république « monarchique », qu’on n’élisait pas un Président mais qu’on élisait un « Roi » !
De l’autre il y avait en moi (et il y a toujours), en voyant le déclin du système français et l’impossibilité de le réformer paisiblement, un fort pressentiment qui me faisait dire que la France allait tout droit vers une Révolution avec un grand R, digne de celle de 1789.
Et c’est en mettant en contact ces deux constats, tels deux fils électrique, que surgit une étincelle : « Est-ce que le Président de la République est une réincarnation d’un Roi de France ? »

Petit problème, je ne suis pas, vraiment pas, un spécialiste de l’Histoire de France, et je ne connais pas non plus les parcours de nos chers Présidents. Comment allais-je m’y prendre ? Et tout coup je fis une association, venue de je ne sais où : Mitterrand-Mazarine, Mazarine-Mazarin, Mazarin-Louis XIV. En poussant un peu, on aurait pu ajouter dans le décor, d’un côté, Anne Pingeot, mère de Mazarine, ancienne conservatrice au musée du Louvre et de l’autre Anne d’Autriche, mère de Louis XIV et dernière Reine de France à avoir régner au château du Louvre. J’avais mon point de départ, Mitterrand réincarnation de Louis XIV.  A vrai dire, je n’eus pas besoin de me plonger dans les biographies de l’un ou de l’autre pour l’en convaincre. Je me rappelai juste d’une petite phrase : « L’Etat, c’est moi ! » qu’on attribue à Louis XIV, mais qui était tellement présente en pensée chez Mitterrand…

A partir de là, ayant deux points de référence, Louis XIV-Mitterrand d’une part et la Révolution de 1789 et la révolution supposée à venir, je me suis demande tout simplement s’il n’y avait pas de continuité historique. A savoir, si les prédécesseurs et successeurs de Mitterrand étaient des réincarnations des prédécesseurs et successeurs de Louis XVI. Chirac était-il la réincarnation de Louis XV, Giscard était-il celle de Louis XIII, Pompidou était-il celle de… ? A ce moment-là, je ne savais même plus qui était le prédécesseur de Louis XIII, je savais juste que ce n’était pas Louis XII.
Et ce fut donc Henri IV, père de Louis XIII. Y avait-il un De Gaulle avant Henri IV ?
Sans doute pas, les Rois ayant précédés Henri IV, appartenant a dynastie des Valois, n’ont pas vraiment brillé, ni marqué l’Histoire de France.  Et je me dis qu’il y a une certaine logique, De Gaulle a surtout été un homme de transition et de transformation pour la France. Tout d’abord pendant la 2e guerre mondiale ou il fut l’homme de la Libération, puis a partir de la fin des années cinquante lorsqu’il réforma la constitution, en instaurant la Vé République dans un premier temps et le suffrage universel dans un deuxième temps. Certes il devint Président de la République, mais jamais il n’incarna ce « Président-Roi », comme ont pu le faire ses successeurs.
De conclure , que de la même manière ,Henri IV fut le premier roi de la dynastie des Bourbons, Pompidou fut le premier « Président-Roi » de la Vé République.

Evidemment, en comparant chaque couple roi-président (avec Wikipédia pour commencer) j’arrivais à trouver des points communs, des similitudes quant au caractère et même des ressemblances physiques. Mais sans doute voulais-je trop croire en ma théorie. Alors je me dis qu’il devait y avoir une corrélation dans la longueur des règnes de chacun, que la temporalité, le rythme de l’histoire (qui quelque part se répétait) devait être les mêmes.
Henri IV avait régné 21 ans, Pompidou un peu moins de 5 ans, soit un rapport de 4.3
Louis XIII avait régné 33 ans (au jour prés), Giscard, lui, 7 ans, soit un rapport de 4.7
Louis XIV avait régné 72 ans, Mitterrand, 14 ans, soit un rapport de 5.1
Et Louis XV avait régné 59 ans, Chirac, 12 ans, soit un rapport de 4.9.
En mettant à la même échelle les 2 périodes on obtient ce graphique :

A partir de là, je n’avais plus aucun doute, tout semblait se tenir. Pourtant pendant cette campagne présidentielle de 2007, je ne voyais aucun Louis XVI se profiler à l’horizon, sans doute avait-il peur pour sa tête, et restait tapi dans l’ombre encore pour quelques temps.
Certes, cette fois-ci l’histoire ne se répétait pas exactement de la même manière, mais je me rendais bien compte qu’il y avait face à face, d’un côté, celui qu’on allait appeler, plus tard, le « Super Président », parce que, jadis, il fût un « Super Roi » ; et de l’autre côté, celle qui porte son nom de famille comme on porte une couronne, celle qui était encore la compagne de François Hollande, celui qu’on attendait.
C’est ainsi que commença pour moi cette grande aventure “historico-karmique” que j’allais appeler : « La Réincarnation Française ». Une aventure qui allait bien au-delà de savoir qui est la réincarnation de qui, car très vite, je me suis demandé, si ce n’était pas la France qui avait réellement une âme. Pourquoi nos Rois étaient-ils revenu ? Le peuple les avait-il remis sur leur trône pour refaire la Révolution ? Celle de 1789 était-elle si ratée ? et de m’interroger sur l’essence, l’identité fondamentale de la France…la grande question du moment !

Après la parenthèse Sarkozy, sans doute était-il trop pressé ou se prenait-il pour le messie ; Louis XVI, que tout le monde a reconnu, se fait élire Président et je me dis que les choses sérieuses allaient commencer, qu’on allait voir ce qu’on allait voir. Hollande, le Président dit « normal », c’est-à-dire dans la lignée des Chirac, Mitterrand, Giscard et Pompidou, allait-il se faire couper la tête ?
Chat échaudé craint l’eau froide, Hollande ira au bout de son mandat normalement. Sans ne tenta-il pas, non plus, le diable en se représentant, a moins qu’il avait une autre idée derrière la tête …

De mon côté, ne voyant toujours pas de Révolution, voyant que Napoléon était déjà passé par là, je me disais que peut-être une nouvelle page de l’Histoire de France état tout simplement en train de s’écrire. Je ne voyais ni de Louis XVIII, ni de Charles X se profiler a l’horizon (même si j’ai ma petite idée), et je me demandais qui pourrait bien succéder à Hollande, d’autant plus qu’aucun des candidats ne m’inspiraient.
Fillon n’avait pas l’étoffe d’un roi. Cinq ans Premier Ministre, on avait vu que c’était un bon collaborateur. Soit, il avait remporter la primaire a droite, mais avait-il  la carrure pour endosser le costume de chef ? dans une certaine mesure pourquoi pas !
Et puis Macron, cet homme politique non identifié, sorti d’on ne saiz ou, qui n’a rien fait comme les autres et qui pourtant est là !
De qui sont-ils la réincarnation ? Aucune idée !

Alors je me suis dit que peut-être, je trouverai des indices dans leurs noms de famille. Pensant que les âmes choisissaient, au moins en partie, où elles allaient s’incarner, je me suis dit que le nom de famille devait avoir son importance et une signification plus ou moins cachée. Pour Ségolène Royale, le message était clair, pour François Hollande, j’étais persuadé qu’il y avait un rapport avec la Hollande, mais je n’avais pas encore percé ce mystère…
Origine de nom de famille Fillon : diminutif de fils jeune garçon, petit enfant et a pu designer le dernier-né d’une famille (filae.com). Nom de famille particulièrement populaire entre Chartres et Orléans. François Fillon serait-il la réincarnation d’un Duc d’Orléans, prince issue de la branche cadette de la famille royale ? Sans doute, mais je n’arrive pas à l’identifier. Le Duc d’Orléans, contemporain a Louis XVI, Philippe Egalite, ne correspondant pas trop au profil de François Fillon…Allais trouver quelque chose d’intèressant chez Macron ?
Origine du nom de famille Macron : nom de famille rare, forme contractée de maqueron, diminutif de maquerel, nom issu du moyen néerlandais makelaer, avec le sens de courtier, entremetteur.
Et là, ça fait tilt dans ma tête ; tout s’éclaircit Hollande, Macron (nom d’origine hollandaise), c’est Louis XVI et Louis XVII son fils, alias Karl-Wilhem Naündorff, mort a Delf en Hollande. Celui, que certains appellent un faux Louis XVII alors que d’autres, ceux qu’on appelle les « survivantistes », soutiennent qu’il était bien Louis XVII. J’étais d’autant plus réconforté dans mon analyses, que quelques jours après, je lisais, de la plume d’un homme politique de droite, qu’Emmanuel Macron était le fils de François Hollande et Ségolène Royale.
D’une pierre deux coups, non seulement j’identifiais l’incarnation précédente de Macron, mais j’avais la preuve karmique que Louis XVII et Naündorff était bien une seule et unique personne.

Hollande avait réussi son coup ; placer sur le trône de France son fils Louis XVII, connu comme Maître des Horloges à Berlin sous le patronyme de Naündorff.